Discover the contemporary work of Annaïg LE BIHAN
Membre du Conseil National Français des Arts Plastiques UNESCOMembre de la Société Académique Arts Sciences et LettresMembre du Cercle des artistes peintres et sculpteurs du Québec (médailles de l'assemblée nationale française et du québec)Membre collectif féminin international ContemporaMédaille de Bronze Arts Sciences et LettresFigure dans Cotation DROUOTArtiste-Peintre, j’aime l’humour, la poésie, croquer sur mes carnets pendant les voyages… et re-transmettre mon savoir pendant les cours et les stages de dessin-peinture et particulièrement les "carnets de voyage", les derniers stages étaient en Poitou, en Lot et Garonne , à Bordeaux et en Bretagne dans la région de Pont-Aven avec des élèves de toute la france et d'origines Anglaises. Originaire de Bretagne, je vis et travaille à Poitiers depuis 1983, et j'ai élu le sud-ouest comme terre artistique de coeur depuis 2007. Présente en permanence dans les galeries : A7 à Penne d'Agenais (47), LE SALON (86), Grafic à Niort (79) et Tokade à Toulouse (31) j'expose en France et à l’étranger, sélectionnée par le conseil général de la vienne pour exposer au musée de Schenzen CHINE et participer au festival d'arts visuels à Caraquet au CANADA. Peindre les émotions issues de la réalité figurative, peindre l’évanescence des choses, saisir en elles l’ambiance qu’elles répandent sont une recherche à laquelle je me livre. Entre voile et dévoilement, la forme n’est pour moi qu’une mise en scène qui déforme … les cordages et les ancres rappellent mes origines bretonnes … La matière, enrichie de signes, de textes et de morceaux de mémoire intime, est là pour soutenir et donner la force à l'expression du voyage dans mon pays intérieur. une signature récurrente : le dessin d’une spirale, identifie mes toiles… La diversité de mon travail, rythmé par des techniques aussi différentes que le pastel, la sanguine, l’aquarelle, l’acrylique, la matière et l’huile me permet une liberté qui invite à pénétrer l’intériorité humaine et qui aime mettre en perspective la vulnérabilité de l’être et la fébrilité de la matière.
