Discover the contemporary work of BRIGITTE MARTINEZ MORRIS
Brigitte Martinez Morris se fera une joie de vous fournir sa time line depuis le début de son activité
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Peintre humaniste et holistique aprés 15 années et l'exercice dans le domaine de "l'umain"...
Pour Brigitte l'bstraction est la vision libérée et infinie. Une autre voie & une perception renouvelée
Que sommes-nous ?
Abstraits comme différents & Abstraits comme étrangers Abstraits comme renouvelés & Abstraits comme hors de notre Humanité
Du crépitement du feu au crissement du fusain sur le papier au vide « habité » des atomes il y a le langage artistique. Libérateur.
Pour Brigitte Martinez l’abstraction est une forme de recherche de la place du langage dans l’univers.
C’est aussi l’un des moyens du peintre pour livrer certaines des informations qui le constituent. En fait son propos de femme est celui du défi que relance a chaque œuvre l’usage de ce mode d’expression pictural.
Pour Brigitte Martinez cette écriture est instinctive. Dire autrement les choses, les formes et les couleurs, les vides et les pleins comme s’il s’agissait de recevoir et de donner sans filtre hors celui du canal humain. L’artiste est « observateur » privilégier de la part dynamique puis énergétique de l’univers. Capteur et filtre impermanent devrait-il se soustraire au droit d’en connaître et d’en communiquer la source ?
Devrait-il faire de l’expérience abstraite et féconde, de son renouvellement, de son incessante expérimentation et de l’œuvre autre chose qu’un phénomène expressif ?
Brigitte Martinez pense que oui. De l'Abstraction a la vision Quantique ou la vision Duelle Pour Brigitte Martinez l’œuvre n’est qu’un début, une prise de conscience, elle n'est qu’une élévation de l’être pour un impact bien plus large que celui de l’image et du message.
Elle existe pour une présence pour être tout simplement.
L’éveil en est peut être le véritable enjeu avant celui de la guérison Mais de quoi doit guérir le peintre si ce n’est de son humanité ? Nos sens sont des armes. Ils enquêtent sur le monde qui nous entoure Ils restent les vigiles avisés de toute actualité. Que serions-nous sans eux ? Que saurions-nous, de nous et de toute autre chose sans eux ? Les sens sont là pour le sens de l’être sans l’ombre d’un doute… La voie ou « illumination » : Perception ! Révèle-nous nos esclavages, nos cordes sensibles Libère-nous des compositions et des partitions du monde qui en découlent. Brigitte Martinez pense que le peintre se livre a une nouvelle conformité au réel en basculant simplement dans une autre dimension. Il va opter pour une traduction du sens global de « ce qui est », « ce qui arrive », tout en acceptant de se démunir d’un peu de son humanité et de son lien au réel. Il le fait, connecté aux vides du monde quantique et leurs sens.
Les phénomènes abstraits tels des matrices non localisées ont leurs énergies et leurs flux, leurs rythmes. L’artiste porte au bout de ses doigts les densités, les intensités des coïncidences jusqu’aux puissances des synchronismes découverts. Son amour pour les vides de l’univers et les pleins d’informations associés donne un nouveau sens a son travail. Du sens commun il peut partir en quête du commun des sens.
L’abstraction quantique n’est rien de plus qu’un choix et une démarche spirituelle. Il faut au peintre une haute motivation de "lâcher prise" et de découverte de l’essence même de l’être pour en user. Il touche alors au sacre. L’abstraction est une valeur, un état vibratoire d’expression qui entre en raisonnance avec le reste de ce qui est, mais ne se voit pas et pourtant se révèle. Epurer, nettoyer, rendre aux choses leur essence. Montrer et lever le voile sur les pans qui composent notre réalité. L’artiste fait ce voyage intérieur seul. Son intimité est incluse. Transcendée, la compétence du peintre est liée à l’acceptation du chaos, de la transformation, pour l’abandon de toute nature humaine.
L’abstraction est aussi le fruit et la traduction de cette complexe et courageuse démarche entre la dualité du plaisir et du déplaisir. Ouvrons-nous ainsi aux potentiels de la « prescience ».
Certaines œuvres contiennent en effet des informations qui s’incarnent bien après leur création. Cette source peut être manquée si la motivation n’est pas celle du cœur et ses besoins.
L’inspiration est divine, l’abstraction un lien direct avec la vie.
L’aspiration instinctuelle est animale et utile pour une polarité terre/ciel
L’abstraction quantique est la révélation des faits non manifestes.
Mais cette découverte se fait en toute conscience.
Du macrocosme au microcosme avec le rythme pour vocabulaire en un souffle énergétique bien moins humain que vital pour architecture de l’œuvre. Alors l’artiste peut penser avoir livré un « Univers » connecté et compris.
Au-delà des apparences Au-delà de la forme Au-delà de l’identification Au-delà de la reconnaissance Dans ce monde abstrait, ce monde quantique et virtuel. L’âme extrait nos besoins de là, ils sont générés par cet espace impermanent Quand le peintre use du réel il est déjà« abstrait » d’une manière composée en dénaturant les « faits » et en construisant son unicité par des images empreinte de sa sensibilité.
Sa perception, son actualité, ses émotions sont déjà une abstraction du monde perçu. Nous avons là une vision anamorphique du monde.
Une fois lâchés ces codes de représentation l’artiste est messager pour bien plus d’âmes que lui seul. Il entre dans la sphère mouvante du partage et de l’éveil.
Le monde abstrait est donc une porte ouverte sur la perfection de la compilation des mondes pluriels.
La vision quantique de ce qui est sans être matérialisé.