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Chantal Japhet (née Ronceray).
Je suis née à Paris, dans une famille bourgeoise et avec des racines nobles; françaises et russes.
De 12 à 16 ans,le sport, la natation et le ski, étaient mes moments de détente.
Le piano était obligatoire mais j'avais trouvé une astuc qui me ermettait de lire mes livres ! Je mettais un livre au milieu de ma partition gammes.
Je voulais être journaliste et j'ai donc fait de nombreuses écoles supérieures.
Lorsque j'ai commencé les études supérieures IAE, IEDES et science Pô (en auditeur libre) et faculté de géographie j'avais besoin de détente et de calme.
J'avais des amis qui faisaient de la peinture dans un atelier à Montparnasse et pour me détendre, je suis allé avec elles. J'ai commencé la gouache et l'acrylique sur des paysages.
J'ai eu un vrai sentiment de calme qui facilitait ma concentration et me calmait.
C'est là que je me suis rendu compte que ma main allait seule et quand je me reculai c'était "le moment magique" de la découverte de ce que j'avais peint !
C'est très difficile de comprendre cela, mais c'est un moment magique et hors du temps!
Cela vous calme et vous donne envie de poursuivre.
Je me suis remise à peindre depuis trois ans, dans un atelier toujours à Montparnasse et j'ai ressenti cet instant extraordinaire de nouveau.
Je crois que je ne pourrai plus jamais arrêter de peindre, ce ressenti devient un moment indispensable.
Il y a eu aussi la découverte de l'huile, et cette lumière fabuleusement forte, qui vous porte jusqu'à la fin de votre œuvre, avec facilité et ténacité.
C'est pour cela que je viens vers vous car je ne veux pas oublier cette magie !
J'ai aussi un besoin de challenge qui accompagne ce que je ressens avec la peinture.
J'aime la compétition depuis mon jeune âge et je l'ai toujours; c'est très important pour me pousser en avant et vivre le plus longtemps possible.
J'espère que cela vous plaira.
Chantal Japhet : mon nom de jeune fille est Chantal RONCERAY :
Je suis née à Paris, le 16 avril 1952, dans une famille bourgeoise et chrétienne, avec des racines nobles françaises pour mon père et en partie Russe pour ma mère.
La famille de ma mère : BISET
Mon grand-père maternel était un industriel savoyard franco-russe spécialisé dans le domaine des produits pour tanner le cuir.
Pendant les années 1900, La situation de la Savoie étant mauvaise, comme beaucoup de savoyard, Il est parti retrouver une
Partie de famille en Russie et à vécu à la cour des Tzars grâce à son métier.
Puis, quand la révolution a éclaté, il a réussi à se sauver.
Il a attrapé la Peste et le Typhus et il a réussi à revenir et France il pesait 30kg pour 1,80m !!!
Il a survécu et a reconstruit ces usines.
Ma mère a longtemps travaillé avec lui puis elle s’est arrêtée quand nous sommes nés tous les quatre
Dans notre famille, le niveau à l’école, l’éducation et la musique avaient des règles strictes.
L’art s’achetait, mais ne ce faisait pas.
Seul le piano était permis !!!!
La famille RONCERAY de mon père :
Une famille bourgeoise des Vosges, mon grand-père paternel était le bras droit de la famille Boussac. C’était une des plus grandes marques françaises de textile pour la maison.
Mon père avait fait ses études dans ce domaine et ses débuts avec eux, pour apprendre le métier.
Il s’était ensuite fait une clientèle personnelle.
Quand mes parents ont divorcé, j’ai pu, enfin me mettre à la peinture et terminer mes études.
Pendant celles-ci j’ai travaillé avec les entreprises du tourisme pour me payer ainsi mes vacances (VVF et VVT).
Je suis rentrée dans les entreprises de la caisse des dépôts du le tourisme et les loisirs, ce qui m’a ensuite permis d’y travailler avec leurs filiales.
En prenant ma retraite je me suis remise à la peinture et c’est devenu une passion.
Comme j’ai fait beaucoup de compétition de sport : natation et ski, j’aimerai faire aussi des expositions et des compétitions pour la peinture.
C’est toujours très bon de se surpasser cela donne une volonté de vivre et de faire.