Discover the contemporary work of Didier GOESSENS
Didier Goessens Biographie : Didier Goessens est né à Charleroi, le 31 août 1962 formé au dessin et à la bande-dessinée dans les académies de Charleroi et de Chatelet, auprès de marcel Gibon, andré Goessens et vittorio Léonardo jusqu’en 1982 études de psycho-pédagogie à l’école normale de Couvin et à l’université de Liègeétudes d’arts-plastiques (illustration) à l’institut Saint-Luc de Liège illustrateur de mode professionnel depuis 1986 pour Olivier Strelli, Gérald Wathelet, Marie-Claire, Flair, Knack, … professeur de dessin de Mode à LA CAMBRE et à l’IFPME de Liège graphiste et peintre professionnel, responsable de nombreux projets (Bruxelles expo Séville 1992, années, 80 essor de la mode belge - musée du cinquantenaire, La Villégiature - théâtre Jean Villard, …) vit et travaille en France, depuis 1994, à deux pas de l’abbaye d’Orval… se consacre essentiellement depuis 2003 à ses recherches picturales, encres et acryliques, et à de nombreuses expositions en Belgique, en France, et ailleur…(commandes publiques et œuvres acquises internationalement (Séville, Luxembourg, Canton, Saint-Maur, Avignon, musée du Cinquantenaire-Bruxelles, Mairie de Montréal, ...) Démarche artistique : Très influencé par des artistes aussi variés que Schiele, Belmeer, Zao Wou-Ki, Léonor Fini, Tiepolo, Alechinski,… amoureux du dessin, des grands dessinateurs de tous les temps, que ce soit dans les travaux à l’acrylique, liquide et épaisse, traitée en « strasses », ou dans les peintures à l’encres, sur papier de riz marouflé … rechercher l’essentiel, sans tricher …participer au tout, dire la quintescence qui émane des gestes, des corps en dialogues… à travers une économie de moyens en œuvre…amoureux des arts orientaux, mais tellement conscient, que si l’essentiel nous tient proches, notre monde et notre culture occidentale amène la création dans une expression paroxystique, réorganiser le kaos sans s’en exclure … « dessins-peints, mélanges de mouvement, de danse, de musique, de vie à éprouver et à partager... les intentions se précisent et la technique en s’affinant, sert mieux que jamais la rencontre de ses obsessions paradoxales. Entre Orient et Occident, art pariétal et abstraction lyrique, murmure et capharnaüm, amours et succubes, ... un souffle passe. L’émotion qu’il nous procure, reste, simplement. Comme s’il était pourtant possible de réconcilier l’intemporalité de l’art comme recherche du beau et du vrai, conceptualisme et contemporanéité... « Tenmit HEINZ-TO