Discover the contemporary work of KIKILAND
Petit, c’est au côté de mon frère que je passais des heures à dessiner ; Sangoku, Trunk, Vegeta, ils ont tous eu droit à mon coup de crayon.Ce goût pour le dessin ne me quitta plus. De la customisation de trousses en primaire, à celle des sacs et baskets au collège, jusqu’aux murs de mon jardin aujourd’hui... L’intensité de cette passion n’a jamais changé, à contrario des supports de mes dessins.
« Dur d’en vivre » me répétait une petite voix intérieure...
C’est en 2018 que j’ai décidé de quitter mon taf pour prendre du recul et réfléchir à la suite de ma vie. Le rêve d’un métier artistique m’a rapidement rattrapé, comme une nécessité.
En mars 2020, la France fut confinée pendant 2 mois et je passais mes journées à gribouiller. C’est là qu’est née mon identité artistique KIKILAND. Puis c’est au nouveau confinement de novembre 2020 que, soutenu par ma moitié, l’aventure KIKILAND SHOP s’est concrétisée.
Petit, c’est au côté de mon frère que je passais des heures à dessiner ; Sangoku, Trunk, Vegeta, ils ont tous eu droit à mon coup de crayon.Ce goût pour le dessin ne me quitta plus. De la customisation de trousses en primaire, à celle des sacs et baskets au collège, jusqu’aux murs de mon jardin aujourd’hui... L’intensité de cette passion n’a jamais changé, à contrario des supports de mes dessins.
« Dur d’en vivre » me répétait une petite voix intérieure...
C’est en 2018 que j’ai décidé de quitter mon taf pour prendre du recul et réfléchir à la suite de ma vie. Le rêve d’un métier artistique m’a rapidement rattrapé, comme une nécessité.
En mars 2020, la France fut confinée pendant 2 mois et je passais mes journées à gribouiller. C’est là qu’est née mon identité artistique KIKILAND. Puis c’est au nouveau confinement de novembre 2020 que, soutenu par ma moitié, l’aventure KIKILAND SHOP s’est concrétisée.